Pour y arriver, on traîne une bouteille d’eau lors de nos déplacements et on laisse en permanence un pichet d’eau au réfrigérateur. Mais attention: boire une grande quantité d’eau d’un coup n’est pas une solution, car notre corps se charge aussitôt d’éliminer le surplus.
On s’offre plusieurs petites pauses agrémentées d’exercices d’assouplissement pour éviter les maux de dos, favoriser une meilleure circulation sanguine et détendre les muscles.
On s’assure que notre chambre baigne dans le silence et l’obscurité pendant la nuit. On sort de la pièce tout objet rappelant le travail, comme l’ordinateur où l’agenda. On ouvre une fenêtre pour que l’air circule. Pour conserver une humidité adéquate, on maintient la température entre 15°C et 18°C.
Après un repas copieux, on risque d’avoir envie de dormir: la digestion monopolise beaucoup d’énergie, surtout si on a consommé une bonne quantité de matière grasse.
Cette combinaison a deux avantages: les glucides, facilement digérés, nous fournissent un regain d’énergie immédiat, et les protéines se transforment plus lentement pour fournir une énergie durable.
Pendant la journée, si on ressent l’envie de faire une petite sieste, on se repose. Notre horloge biologique, même en période d’éveil, nous réserve des phases passives, surtout entre 13 h et 16 h. Après une pause, on sera plus productive et concentrée.
On trouve une façon de relaxer qui nous convient et on la pratique régulièrement. (Pas seulement quand on est au bout du rouleau!) Que ce soit de la lecture, un bain à la lavande, de la musique douce, de la méditation, etc., l’important est d’évacuer les tensions et le stress accumulés dans la journée.
On mange toutes les trois heures environ en entrecoupant les repas de collations.«Sinon le corps réagit au jeûne et ralentit son activité, espérant trouver une source rapide d’énergie, explique la nutritionniste Geneviève O’Gleman. C’est alors que se produit la rage de sucre.» Or, le sucre, vite digéré, ne peut procurer une source stable d’énergie.